Le lancement en accès anticipé de No More Room In Hell 2 a suscité une avalanche de critiques négatives. Les joueurs s’attendaient à un retour solide de la franchise, mais ils ont été déçus. Dès les premières heures, de nombreux utilisateurs ont signalé des problèmes de serveurs. Les lags fréquents rendent le jeu presque injouable. Cela crée une frustration palpable au sein de la communauté des fans. Malgré le caractère anticipé du lancement, une telle instabilité est difficile à tolérer. Les attentes étaient élevées, et les premiers retours laissent entrevoir une aventure chaotique.
Actuellement, le jeu affiche une moyenne alarmante de seulement 41 % de critères positifs parmi 5 567 évaluations sur Steam. Ce faible score témoigne du mécontentement général des joueurs. Les critiques abondent, et les commentaires sont souvent sévères. Les utilisateurs pointent du doigt les nombreux défauts qu’ils rencontrent, ce qui rend le jeu impopulaire malgré son potentiel.
Une mauvaise optimisation
En outre, No More Room In Hell 2 souffre d’une optimisation médiocre. De nombreux joueurs ont fait état de baisses de performance significatives. Les personnes avec des machines performantes se plaignent également de lag intempestif. Ces problèmes d’optimisation nuisent à l’expérience de jeu. Les graphismes ne compensent pas ces lacunes. Ainsi, l’immersion est réduite, et les utilisateurs s’interrogent sur le travail des développeurs. La frustration grandit, car ces problèmes étaient prévisibles lors d’un accès anticipé.
Les zombies dans No More Room In Hell 2 ne sont pas à la hauteur des attentes. En effet, leur comportement est souvent erratique. Les joueurs ont aussi rapporté des apparitions et disparitions inattendues, ce qui nuit à la cohérence du gameplay. Ces bugs créent des situations absurdes, où les zombies semblent surgir de nulle part. Cela compromet le réalisme du jeu et fait perdre l’immersion. Le gameplay basé sur la survie s’en trouve grandement affecté. Une telle situation est inadmissible pour un titre centré sur l’horreur.
D’autres aspects décevants
Un autre aspect critiqué est le système de combat. En effet, les hitboxes sont imprécises, et cela complique considérablement les affrontements. Dans No More Room In Hell 2, il faut souvent plusieurs coups pour abattre un zombie. Cela entraîne une frustration, car les joueurs se sentent désavantagés. De plus, la barre d’endurance est très limitée. Après quelques attaques, il faut attendre de longues secondes pour récupérer. Cette mécanique de jeu n’est pas seulement frustrante ; elle rend le jeu moins engageant. Les utilisateurs espéraient un système de combat plus fluide et réactif.
Le contenu proposé à la sortie de No More Room In Hell 2 est également jugé insuffisant. Les joueurs déplorent le manque de variété. Actuellement, une seule carte est disponible, ce qui est décevant pour un titre à 29 €. Les anciens joueurs de la série espéraient également un plus grand choix d’environnements et de missions. Le peu de contenu a pour conséquence de rendre les parties rapidement répétitives. Les utilisateurs s’interrogent sur l’absence de nouvelles mécaniques ou d’améliorations par rapport au premier jeu.
Des retours très négatifs
Pour couronner le tout, les retours de la communauté sont très négatifs. De nombreux streamers ont exprimé leur mécontentement lors de leurs sessions. Les insultes et critiques pleuvent sur les réseaux sociaux. L’ambiance générale est clairement à la déception. Les joueurs ressentent que les développeurs n’ont pas tenu leurs promesses. Il est difficile de voir comment le jeu pourra redresser la barre dans les mois à venir.
Pour finir, No More Room In Hell 2 a donc un long chemin à parcourir pour se racheter. C’est pourquoi, les développeurs devront s’attaquer rapidement aux problèmes techniques et enrichir le contenu. La communauté est impatiente d’éventuelles mises à jour. Cependant, jusqu’à ce que ces changements soient effectués, il serait sage de réfléchir avant d’acheter le jeu. Les fans espèrent ainsi un retour à la hauteur des attentes pour la franchise.