Voici venu le tout dernier clavier Gaming de chez Corsair, à savoir le Corsair K60 RGB PRO. Désigné comme clavier silencieux grâce à la nouvelle technologie de Swtichs Cherry Viola.
Est-ce qu’il tient ses promesses ? Voici notre avis.
On prend les mêmes, et on recommence
Sans trop prendre de risques, le Corsair K60 RGB PRO reste dans la même lignée des derniers claviers sortis depuis 3 bonnes années. Un cadre en aluminium brossé, robuste sans être trop lourd. Positionné comme un clavier d’entrée ou de moyen gamme, celui-ci ne révolutionne rien, mais il a le mérite d’être complet, et de bonne facture au premier coup d’œil.
Avec ses 441 mm de longueur et ses 137 mm de largeur, on assiste à un clavier d’une taille classique, qui dévoile un pad numérique.
Le tout est bien évidemment rétroéclairé et dispose de toutes ses personnalisations via le logiciel Corsair iCue.
La boite du Corsair K60 RGB PRO
On commence à avoir l’habitude de l’omniprésence de la couleur jaune imposante de Corsair sur tous leur derniers produits. Avec un léger relifting du logo, rien de très impactant. On y retrouve à la face avant une photo de face du Clavier, la langue du clavier et le logo iCue, pour rappeler que celui-ci intègre l’écosystème de la marque américaine.
à l’arrière, même photo du clavier, mais cette fois avec quelques indicateurs, tels que la configuration requises ou encore les caractéristiques de celui-ci.
à l’intérieur, 3 livrets, dont le manuel d’utilisation. Basique, simple.
Attention, ça va faire mal !
Vendu à un prix conseillé de 130 € pour du Cherry Viola, ça le fait vraiment pas… Les switchs ont certes une conception simplifié pour faire de l’ombre aux technologies des autres claviers d’entrée de gamme… Mais c’est justement là où il y a un soucis. Payer 130 € un clavier entrée de gamme, c’est comme s’acheter un Wiko à 500 €… Cela va malheureusement en freiner plus d’uns, surtout dans la communauté gaming…
Cette conception certifiée sans soudure et avec un système de contact en forme de V établit la connexion entre les deux pastilles sur le circuit imprimé.
On est sur un touché linéaire lors de la pression. C’est cher, beaucoup trop cher pour ça…
Ajouté à cela qu’il ne dispose pas de repose-poignet, ni de touches mémoires supplémentaires, tels que des touches multimédia, par exemple.
C’est un loupé pour cette partie.
Un clavier fainéant, un prix effrayant
Malgré une bonne prestation, ce clavier ne révolutionne en rien le marché des gamers à petits budgets. Pire, il s’adresse à une communauté qui n’a pas envie d’investir 130 € pour un clavier qui par rapport aux concurrents en vaudrait la moitié…
On est quand même sur une technologie breveté corsair avec le Cherry Viola, et même si la technologie permet d’entendre beaucoup moins les » clics « . Est-ce que ce seul point justifie ce prix excessif ? à vous de répondre à cette question, pour notre part, elle est vite répondue.
