La semaine tumultueuse du jeu vidéo se poursuit, après les licenciements chez Ubisoft Montréal. À présent, c’est au tour de l’éditeur Sega d’annoncer des mesures. Celui-ci projette des limogeages au sein de Creative Assembly, particulièrement en raison des performances jugées décevantes de Total War : Pharaoh.

L’éditeur Sega pourrait prendre cette décision difficile sous l’influence de l’abandon du projet de FPS Hyenas, actuellement en développement. La présentation financière de Sega révèle une rapide baisse de rentabilité, due à un marché des ventes de plus en plus compliqué. Dans l’objectif de réaliser des économies, la direction envisage de réduire les dépenses fixes, notamment en procédant à des licenciements chez Creative Assembly.

Ce bilan économique souligne clairement que Creative Assembly fera l’objet de réductions d’effectifs, synonymes de renvois. C’est la première et seule mention de Creative Assembly dans le document, signe inquiétant. Par exemple, Total War: Pharaoh, classé parmi les pires jeux de Sega, n’a pas atteint ni les attentes financières ni la confiance de l’entreprise.

Les licenciements chez Creative Assembly sont encore indéterminés, et la probabilité d’un jeu similaire à Total War: Pharaoh est faible. Mais pour autant, les fans espèrent le retour de Creative Assembly avec Medieval 3 pour reconquérir la confiance de la communauté.

En conclusion, la décision difficile de Sega souligne les défis financiers et la nécessité de réorienter la franchise. Un retour aux sources semble impératif afin subvenir à l’attente des fans. En somme, Creative Assembly doit renouer avec ses racines. Un Total War historique majeur ? Un remake de Warhammer ? Les possibilités sont nombreuses !